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Quand le bureau devient jungle : survivre à l'homophobie en costume

Dernière mise à jour : 8 mai


LGBT : quand le changement de poste rime avec épreuves

Faits marquants :


  1. Retour à la case discrimination : Changer de poste ne devrait pas rimer avec retour dans le placard.

  2. L'impact brutal sur le moral : Être cible d'homophobie au travail, c’est aussi usant que de courir un marathon sans fin.

  3. Alliés > Collègues : Dans la guerre contre l'intolérance, chercher des alliés, pas seulement des survivants.


Changer de poste devrait être une occasion de briller, pas de mordre la poussière sous le regard goguenard de l'homophobie. Et pourtant, pour certains, c’est un peu comme être promu capitaine du Titanic post-iceberg. 🚢⚓️


Un "coming out" professionnel non désiré


Voilà Arthur, propulsé dans son nouveau rôle, prêt à conquérir le monde... ou du moins à essayer. Mais au lieu de slalomer entre les félicitations, il se retrouve à esquiver les blagues lourdes et les regards qui en disent long. "Oh, c'est donc toi le nouveau? Le gay-friendly de service?" Voilà le genre de bienvenue qu’il reçoit. Pas vraiment le tapis rouge rêvé, plutôt un vieux paillasson.


La fatigue de devoir toujours prouver sa valeur


Tout ce que veut Arthur, c’est être évalué pour ses compétences, pas pour qui il aime. Mais apparemment, c’est trop demander. Chaque jour, c’est comme remporter l’Oscar du meilleur acteur dans un drame quotidien. 🎭


"Je pensais que mon travail parlerait pour moi, mais apparemment, il murmure encore," raconte-t-il à un collègue, entre sarcasme et désespoir. C'est usant, de devoir toujours jouer les héros dans un film où vous n'avez même pas choisi d'être le protagoniste.


Alliés en or dans un monde de brutes


Heureusement, tout n'est pas perdu. Parmi les loups, il y a des brebis, et parfois même des bergers. Léa, par exemple, se révèle être une alliée de taille. Pas le genre à seulement vous tenir la porte, mais plutôt à la défoncer si nécessaire. "On ne laisse personne derrière, surtout pas à cause de bigoteries démodées," clame-t-elle.


Et puis, il y a ce réseau d'employés LGBT, une sorte de club de résistance où on échange des tactiques de survie et des mots de soutien. Arthur y trouve non seulement des oreilles attentives mais aussi des voix qui se font l’écho de ses propres combats. 🌈


Un appel aux armes (mais avec style)


Face à l'homophobie, ne baissons pas les bras, surtout pas quand on peut les lever pour danser sur sa tombe. C’est un combat, certes, mais on n'est pas obligé de le mener en silence ou seul.



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