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Le quiet quitting vu par le Génération Z


Le "quiet quitting", c'est un peu comme quand tu dis à ta meuf que t'as plus envie d'elle, mais que tu veux pas quitter l'appart.


C'est un peu comme si tu disais à ton boss que t'as plus envie de travailler, mais que tu veux pas quitter le job. C'est un peu comme si tu disais à ton chien que t'as plus envie de jouer avec lui, mais que tu veux pas le laisser tout seul.


Mais bon, faut être honnête, le "quiet quitting", c'est surtout une excuse pour être un peu feignant. C'est comme quand t'as la flemme de faire le ménage, alors tu caches la poussière sous le tapis. Mais bon, la poussière, elle finit toujours par ressortir, hein. Et le "quiet quitting", c'est pareil. Tôt ou tard, ça se voit que tu te fais chier.


Et puis y'a la question de la loyauté, hein. Parce que bon, quand tu signes un contrat, t'as une responsabilité envers ton employeur. Et si tu fais du "quiet quitting", tu respectes pas cette responsabilité. Tu trompes ton boss, tu trompes tes collègues, tu trompes tout le monde. Et ça, c'est pas bien.


En fin de compte, le "quiet quitting", c'est un peu comme le faux-semblant. C'est un peu comme si tu mettais un masque, mais que tu pouvais pas l'enlever.


C'est un peu comme si tu vivais dans une illusion, mais que tu pouvais pas en sortir. Alors si t'en as marre de ton job, tu fais quoi ?


Tu le dis, tout simplement. Et si ça plaît pas à ton boss, ben tu te casses.


Parce que t'as pas besoin de faire du "quiet quitting" pour être heureux. Allez, sur ce, j'ai un appel important. Quiet quitting, adieu !

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